À la moindre (ré)apparition de symptôme(s), je préviens mes soignants.
Parfois je me dis que c’est anodin et que ça n’en vaut pas la peine mais en fait ces détails ont toute leur importance.
Afin que ma psychiatre me comprenne au mieux et que j’aie un traitement adapté, je joue franc-jeu avec elle.
Je ne peux que vous conseiller de ne pas garder vos symptômes pour vous.
De mon côté, c’est systématique, lors des périodes pendant lesquelles j’ai des hallus, tout semble assez irréel/flou autour de moi, comme si mon environnement était un rêve. J’ai essayé de dessiner cet effet.