On ne me demande jamais comment je vais ou comment se sont passées mes journées. C’est la technique de l’autruche.
C’est comme ça, ça évite d’etre confronté à un récit embarrassant ou d’être mal à l’aise.
De mon côté je trouve que ça me disqualifie dans les relations sociales, je suis une personne à qui on ne demande même plus comment elle va. Je me sens moins exister qu’une autre. Moins importante, moins vivante.
Au final, j’ai eu tellement à dire que j’ai créé ce blog. Ici je peux faire sortir ce que je garde à l’intérieur.
Voici donc le résultat en images !
Mais rassurez-vous, cette maladie fluctue et ce n’est pas tous les jours comme ça.