Je fais déjà ce que je peux au quotidien, même si ce n’est pas beaucoup aux yeux des autres. Et quand on me sous entend que je ne fais aucun effort, je suis blessée.
Vous n’imaginez pas à quel point chaque geste de la vie courante nous est difficile et coûteux en énergie.
A tous les parents, amis, compagnons et autres proches de personnes souffrant de schizophrénie : s’il vous plaît, surveillez vos mots et surtout, informez-vous.
N.B : vous noterez que je ne cite pas la dépression comme exemple mais bien un coup de blues ou de déprime passager. Ce qui est à distinguer de la dépression, qui elle est invalidante et à ne pas prendre à la légère.