Suite à mes soucis de santé et aux effets secondaires (dyskinésie) dus à ma prise de neuroleptiques longue durée, la psychiatre a suivi l’avis du généraliste et a décidé de réduire mon traitement médicamenteux de moitié, puis de voir comment ça se passe.
D’un côté j’ai envie de crier youpi ! D’un autre je suis morte de trouille.
Avec la moitié de médicaments en moins, faut pas se leurrer, il va y aller freestyle l’autre chapeauté.
Clin d’oeil à mes années passées dans la capitale. Quand l’employeur remboursait le pass navigo, c’était chouette. La file pour le recharger, un peu moins.