L’avenir brillant.

Je suis dépitée par tous ces articles et discours qui prônent que 30 ou 40 ou 50 ans (au choix), « c’est le bel âge », en avançant cet argument intemporel « Vous avez une plus grande aisance financière grâce à l’évolution de votre carrière, vous avez l’argent et l’autonomie pour voyager et, de temps en temps, vous faire un beau cadeau.. car maintenant vous êtes adultes et vous en profitez ! ».

Et après, un beau jour, on nous sort « c’est fou, ils vivent vraiment en marge de la société les schizophrènes. C’est de la mauvaise volonté ».

Non, Einstein, c’est de la survie pour ne pas être profondement triste.

 

PS : Rappelez-moi de changer de psychiatre.