Combattre les clichés sur la schizophrénie

Un petit projet sur lequel je planche depuis quelques temps.
Car j’en ai marre de bouffer du prejugé à tous les repas uniquement à cause du manque d’informations que la population reçoit.

En sachant que les médias utilisent le terme ‘schizophrénie’ à tort et à travers pour parler politique et que dans les films les tueurs fous sont EVIDEMMENT schizophrènes.
Jamais diabétiques, jamais autistes, non non, toujours les méchants schizophrènes uuUuUuh.

Servez vous un petit café, parcourez mes bd et chassez les idées reçues, zou !

 

 

 

Le terrain favorable

C’est pas facile de changer de plans, d’abandonner des projets dans lesquels on a investi beaucoup d’energie et sur lesquels on s’est appuyé une grande partie de sa vie pour continuer à avancer.

Mais tel un petit singe qui avance de liane en liane, ou une princesse qui avance de mec friqué en mec friqué, rebondir et percevoir la vie imprévisible comme un challenge plein de rebondissements aide garder la tête hors de l’eau.

La vie n’est qu’une farce.

 


La quête du bonheur (ou Les groupes de parole II)

Lors des groupes de paroles, remplis de désespoir et de détresse, j’ai constaté que les problèmes mis sur le tapis, la plupart du temps, étaient en rapport avec le contraste entre notre vie de malade et celles des autres.

Tout le monde pense à la vie géniale qu’il aurait menée s’il n’avait pas été malade ou s’imagine que le bonheur n’est accessible que quand on arrive à mener le même type de vie que les autres. Ou, du moins, celle que l’on imagine qu’ils mènent..

Vu que j’ai une façon de voir les choses qui m’est propre, et qui me permet de relativiser, j’ai essayé de la partager.
Je n’ai pas la science infuse mais avoir plusieurs sons de cloche est toujours intéressant.

Ce raisonnement ne marche d’ailleurs pas que pour les personnes atteintes de schizophrénie, mais bien pour tout le monde :